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Ce que j'aime, De mes 10 doigts, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha

Vive le vent d’hiver… {1er CONCOURS DE NOEL 2014 #Gourmandises…}

02/12/2014

Il y a encore quelques années je détestais Nöel, ses lumières, sa frénésie d’achats de cadeaux presque forcés. J’avais un cafard monstrueux sans vraiment pouvoir l’expliquer puisque j’avais la chance de le passer en famille, d’être bien souvent gâtée et de retrouver ma famille éloignée…

Paradoxe paradoxal une fois encore…

Et puis IL est arrivé… Mini Moi… et il m’a donné toutes les raisons qu’une Maman peut trouver pour aimer voire adorer cette période ! Depuis, j’ai hâte de commencer les décos, envie d’un sapin qui touche le ciel et je cours les magasins de jouets dès le mois de novembre pour trouver des promos et pouvoir lui en acheter plus que de raison.

Aujourd’hui j’ai décidé de partager avec vous ma déco de Nöel réalisée le week-end dernier…

Je commence avec la cheminée dont je rêve depuis des années et que j’ai trouvé le temps de faire, inspirée par un post de mon amie Monica sur facebook… et du coup j’en ai réalisé une avec mes couleurs…

La voici en étapes…

J’ai récupéré des cartons de ramettes de papier que j’ai collées entre elles y compris les couvercles avec du gros scotch, j’ai utilisé 7 cartons au total. Puis j’ai tout simplement utilisé 2 modèles de papier cadeaux différents que j’ai collé aux boites de façon à ce que l’on voit le moins possibles les imperfections et voilà le résultat !!

Pas mal hein 😉

cheminée home made...

 

Ensuite, je vous montre les étapes de notre calendrier de l’avent

J’ai acheté 2 lots de 12 boites triangulaires chez Loisirs et Créations (environ 9.90 € le lot), puis j’ai collé des numéros rouges achetés l’année dernière toujours chez Loisirs et Créations, ensuite une par une je les ai customisées avec différents Masking Tape achetés un peu partout : Hema, Loisirs et Créations, Lovely Tape… Ensuite j’ai collé au dessus de l’emplacement de ma cheminée une feuille de rouleau de papier cadeau avec plusieurs morceaux de masking tape histoire de pouvoir supporter le poids des boites pleines de surprise :-). J’ai opté pour que les jours ne se suivent pas… mais chacun fait à son goût et voilà ! Un joli calendrier de l’avent !! Le seul hic, c’est que les boites ne sont pas très grandes donc à part des petits chocolats vous ne pouvez pas y mettre grand chose…

calendrier de l'avent 1ère partie

calendrier de l’avent 1ère partie

calendrier de l'avent 2ème partie

calendrier de l’avent 2ème partie

calendrier de l'avent 3ème partie

calendrier de l’avent 3ème partie

Et donc le combo cheminée + calendrier de l’avent =

calendrier de l'avent + cheminée home made

calendrier de l’avent + cheminée home made

Enfin je vous montre notre sapin et quelques décos du salon glanées chez Babou, Hema, Maisons du Monde ou encore Monoprix…

Déco home made et guirlande réalisée par Madame Délirose <3

 

Déco d'ambiance... Home made...

Déco d’ambiance… Home made…

Alors vous en pensez quoi ? Et chez vous c’est prêt ? Vous êtes plutôt traditionnel ou plutôt branchouille ? Moi j’adore le rouge et le blanc !! Je ne me lasse pas !

Bon allez !! J’en meurs d’envie et cela fait des mois que je veux vous l’offrir !!! Allez je me lance !

{CONCOURS SPECIAL NOEL N°1}

Je vous propose de gagner ce superbe livre :

 

A gagner !!

A gagner !!

Pour vous mettre un peu l’eau à la bouche, je vous montre quelques pages en rapport avec Nöel qui figurent dans ce livre et toutes réalisées par les doigts de fée de Julie Louis !

PicMonkey Collagenoel bobon

je m’excuse pour la qualité des photos elles ont été prises avec mon téléphone avec un très mauvais éclairage…

ça donne envie hein !!! Alors si vous voulez tenter votre chance rien de plus simple et en 4 étapes !

– Vous abonner au blog www.lecompteareboursdechacha.com

– Liker la page facebook de Julie « Rose Bonbon«  ici

 – Liker la page facebook du blog LeCompteareboursdeChaCha ici

– Me dire sous cet article quel est votre bonbon préféré 🙂

(1 personne sera tirée au sort, mercredi 10 décembre

le livre sera envoyé par voie postale en France uniquement)

Bonne chance à tous <3

chacha noel

Ce que j'aime, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha

100 à l’heure…

01/12/2014

Oh la la la !

Il y a un petit moment que je ne suis pas venue par ici, ce n’est pourtant pas l’envie qui manque et des choses à dire ou plutôt à écrire j’en ai un paquet !

Pour celles et ceux qui me suivent, heureusement qu’il y a Instagram, car j’avoue m’en donner à coeur joie chaque jour en partageant mon quotidien en photo 😉 et c’est un bon moyen de garder contact (pour celles et ceux que ça intéresse évidemment) d’autant que vous le savez, mes articles sont très rarement illustrés par des photos…

Bref, nous sommes déjà au mois de décembre et je n’ai pas vu le temps passer… Vous allez me dire que c’est un cliché, mais pourtant c’est la vérité vraie !

Utilisation interdite

Mini Moi pour sa rentrée ! Utilisation interdite

Hier encore, j’ai l’impression d’avoir déposé mon fils à l’école pour sa 1ère rentrée… C’était en septembre, déjà… D’avoir versé ma larme en franchissant le seuil même de l’établissement… Il était bien plus téméraire que moi qui avançait presqu’à reculons… Il était fier, j’étais blème…

Il a pris le rythme et notre petite routine familiale a repris son cours… Enfin, routine mouais… les jours passent à une vitesse de folie et si Monsieur Doux gérait pas mal l’année dernière, cette année je dois moi aussi assurer davantage que l’an passé… Et oui, Monsieur Doux a été promu ! et avec ses nouvelles fonctions, nouvelles responsabilités et son temps est compté !

Nous sommes donc 2 hyper actifs dans tous les sens du terme, moi avec mes 2 boulots en 1… et lui avec son nouveau titre.

 

Je me rends compte que plus le temps passe et plus j’ai envie de partager de choses sur le blog, mais je manque cruellement de temps !!! Du coup, le fait que mon compte Instagram soit lié au blog c’est bien pratique !!!

Donc je ne vous oublie pas, mes copains/copines facebook sont encore là aussi, même si avec les changements de noms il y a vraiment de quoi être perdue !!!

Et puis il faut que je vous parle des trucs extraordinaires qui me sont arrivés et qui sont à venir !!!!

J’ai été nominée dans la catégorie MEILLEURE REVELATION ARTISTIQUE DE L’ANNEE à la soirée de Gala organisée par CAP MAGELLAN à la MAIRIE DE PARIS  le 5 octobre dernier… Quelle fierté de voir mon nom sur écran géant, avec celui de 2 autres personnes… Même si je n’ai pas remporté le prix, c’était déjà merveilleux de partager ce moment… Alors encore merci à toute l’équipe du tournage du court-métrage : Trentième Etage, Odette, tous les acteurs et musiciens !!! et pour ceux qui l’auraient raté… c’est par ici… ou encore par

Merci aussi à toute l’équipe CAP MAGELLAN pour cette soirée magnifique et voici ma bouille 🙂 pour l’occasion j’avais acheté une jolie robe, j’avais sorti mes jolis souliers Louboutin (oui c’est une autre histoire… ) et je suis allée chez le coiffeur même si je ressemble un peu trop à Mireille Mathieu (repousse oblige !!)

Photos perso Gala Cap Magellan 2014

Pour compléter cette fierté déjà grande… j’ai reçu un précieux TRES PRECIEUX sésame… Je n’y croyais même pas lorsque j’ai envoyé la candidature du blog… Il y a tellement de blogs de Mamans et de Papas extraordinaires que jamais je n’aurai pensé pouvoir être un jour une EFLUENT MUM et participer à la 3ème édition de ce merveilleux spot ! Tadam !!!!

Invitation Spot Efluent Mums 2014

Invitation Spot Efluent Mums 2014

Voilà, voilà, donc on est à J-2 dodos et j’ai trop trop hâte !!! D’une part, parce que je vais voir ou revoir des copines virtuelles hihi et d’autres part parce que je vais rencontrer des marques et des personnalités qui vont enrichir le blog, parce que je partagerai davantage d’astuces de Maman et puis je vais apprendre de blogueuses qui ont un talent incomensurable et qui sont très très généreuses à tout point de vue sur leurs blogs respectifs ! Alors merci à toute l’équipe de Paroles de Mamans pour cet événement hors normes !!! Pour en savoir un peu plus c’est par ici… mais j’en parlerai très bientôt ^^… J’ai d’ailleurs reçu mon Tote Bag ce matin pour l’occasion !!!

tote bag blog

Pour finir ou presque pour aujourd’hui en tout cas… Je voulais vous présenter mon nouveau (ou presque) tattoo… Je l’ai fait faire par un tatoueur extraordinaire qui répond au prénom de Nelson et qui est le boss de Private Tattoo à Créteil, il a d’ailleurs créé une école de tatouages il est donc non seulement de TRES bon conseil mais en plus c’est une garantie de professionalisme et d’hygiène impeccable !!!! Mon tatouage a une signification toute particulière… Tout d’abord, c’est exactement ce que j’ai fait gravé à l’intérieur de l’alliance de mon mari… Ensuite c’est un hommage à mes origines espagnoles, enfin le « A » majuscule est la 1ère lettre du prénom de mon fils…

Tattoo réalisé par Private Tattoo

Voilà voilà donc quelques nouvelles vous voyez qu’il s’en passe tout de même des choses ! Il faut juste que je prenne le temps de tout vous raconter hihi et dès demain je vous fait gagner un petit cadeau sur le blog !!!

Restez bien connecté(e)s !

A tout vite et merci d’être toujours plus nombreux !!! plein de coeurs sur voussssssssssssssss

 

chacha noel

 

Ce que j'aime, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha

poivre et sel

15/10/2014

Il a une démarche plutôt assurée mais ne fait pas pour autant beaucoup de bruit…

Parfois même on oublierait qu’il est là, il suffit qu’il soit absorbé par les infos, ou une telenovela…

Quoique, je dis ça mais il réécrirait 100 fois les scénarios et parfois même pourrait jouer le rôle principal…

Et le foot ? on en parle ? Non il vaut mieux passer cette passion qui l’anime et qui ne cesse de croître !

Il n’est ni trop grand, ni trop petit, ni trop mince, ni trop gros… il est fort… oui c’est le plus fort ce Monsieur là…

Il ne m’a jamais beaucoup parlé, je l’ai craint pendant trop d’années et j’avais du mal à l’approcher…

Il n’était pourtant jamais bien loin mais la distance, cette distance là, était un mélange de respect, de peur et surtout de pudeur…

C’était mon héro, mais moi seul le savait… J’aurai tout donné pour qu’il me regarde, me félicite ou m’aime tout simplement.

J’ai grandi avec tout un mélange de sentiments, partagée entre la colère, l’amour fou, l’amour inconditionnel, la peur et la dévotion…

J’ai écouté les musiques qu’il écoutait, j’ai adoré les histoires qu’il racontait, je me suis privé aussi, de lui crier mon amour en pleine figure !

J’ai fait pendant très longtemps dans l’ombre des choses pour qu’il m’aime, me regarde, m’admire, mais sans jamais qu’il ne le fasse… ou du moins pas comme je l’envisageais…

Il y a un mot terrible, plusieurs même pour les êtres de sa génération : « câlins », « amour », « tendresse », « démonstration », « affection » et j’en passe…

Et moi je mourais d’amour… je mourais d’amour pour celui pour qui j’aurai fait n’importe quoi.

Et puis je me suis fait une raison, j’ai grandi avec ma carapace, mes éclats de voix, mon tempérament de feu, mes gestes larges…

J’ai grandi aussi avec tout plein de doutes, de remises en questions permanentes, un besoin de savoir pour qui pour quoi j’avançais pas à pas dans la vie, si je n’avais jamais d’écho à toutes mes actions…

J’ai grandi aussi dans la dureté, parfois même l’indifférence mais jamais dans la violence, enfin si dans ma tête c’était un vrai ras de marée, combien de fois j’ai étouffé mes cris dans l’oreiller, parce que j’étais transparente… parce que je me sentais vide et que ma vie me semblait vide de sens…

Depuis toujours je donne, je suis comme ça : je donne de ma personne, de mon temps, de mon attention, de ma tendresse et malheureusement depuis autant de temps j’en attends au moins des bribes en retour…

De temps en temps, j’entendais quelques bribes de conversations auxquelles je n’étais pas conviée ou je croyais entendre du bien et puis les fois trop nombreuses ou c’était plutôt du mal… Il faut dire qu’il mettait la barre TRES haut…

putaindebordeldechiottes

J’avais souvent envie qu’il se taise, j’avais envie de partir sans jamais vraiment oser… j’étais docile et presqu’une fille modèle…

Poivre et Sel…

Je ne les ai pas vus venir…

Poivre et Sel…

Ils ont commencé à recouvrir ses tempes…

Poivre et Sel…

A entourer son visage plein de bonhomie…

Poivre et Sel…

Et mon regard sur lui a changé…

Poivre et Sel…

J’ai commencé à lui trouver des excuses… à essayer de comprendre…

Poivre et Sel…

J’ai mis fin à cette dépendance…

Poivre et Sel…

Le respect était revenu au premier plan… mêlé d’une infinie tendresse…

Poivre et Sel…

Une envie irrepressible de lui dire que je l’aime…

Poivre et Sel…

Parce que c’est la marque de ceux qui ont vieilli…

Poivre et Sel…

Et qu’ainsi va la vie…

Poivre et Sel…

Parfois aujourd’hui je m’y blottis…

Poivre et Sel…

Et je sais désormais qui je suis…

Poivre et Sel…

Et le sel de mes larmes est devenu moins amer…

Poivre et Sel…

Parce que je n’aurai jamais les mots justes…

Poivre et Sel…

Parce qu’il a été et sera jusqu’à la mort le Sel de ma vie…

Ce que j'aime, Ma vie de maman

une maman…

24/09/2014

Je ne sais pas quand j’ai eu envie de devenir maman… est ce qu’on a vraiment « envie » de devenir maman ? ne naît-on pas avec cette idée en tête qu’il nous « revient » de plein droit de donner la vie à partir du moment où est techniquement « équipée » pour, autrement dit parce qu’on est une femme…

Je parle à la première personne et je parle de mon histoire…

Bizarrement, dans mes rêves de petite et grande fille je voyais un enfant…

Je n’arrivais pas bien à distinguer le genre de maman que je pouvais ou voulais être, mais il était là bien présent ce désir d’enfant.

J’ai eu des histoires où parfois on abordait le sujet, car à 19 ans quand on aime c’est pour la vie… et on envisageait les prénoms… puis les histoires se sont succédées et puis les années ont commencé à passer et je voyais bien qu’à 27 ans je ne serai pas maman comme la mienne avant moi puisque je l’avais pris comme âge de référence…

Pas le bon papa, pas de bébé, c’est presqu’aussi simple que ça… Et puis je n’étais pas mariée et dans mon idéal, lequel au final était plus celui de mes parents :  pas de mariage = pas de bébé !

Et c’est comme ça qu’à 29 ans j’étais dépitée, pas forcément résignée mais disons que j’avais les boules d’être célibataire, sans boulot, sans gamin et rien pour me consoler vraiment… A la veille de la trentaine… ce poids !!! cette pression même que la société a sur toi, comme si tu allais commencer à pourrir de l’intérieur car tu vas avoir 30 ans ! pas de mari, pas d’enfant, pauvre fille… va te pendre !!

Hum hum hum…

La vie, le destin, ce que vous voulez a placé sur ma route Monsieur Doux à quelques mois de mon centenaire trentenaire…

Pas de pression ou presque mais tout le monde autour de moi retenait son souffle en espérant que ce serait le bon, THE ONE et qu’enfin on allait me retirer cette infâme étiquette, parce qu’en plus « tu te rends compte Natacha, même ton frère a une copine et il est déjà papa !! »

PUTAINDEBORDELDECHIOTTES !!!

Avance rapide… (bruitage d’une cassette audio dans une vieille chaine hi-fi)

J’ai eu la chance de décider pour ma 1ère grossesse que c’était LE moment, et moins de 2 mois plus tard j’étais enceinte… avec un boulot, un chéri et la signature de l’achat d’un appart à 2… la consécration sociale quoi !! (rires) oups… j’omets un « détail »… le mariage… mais ce n’était pas « la » priorité…

Etre enceinte, je ne pourrais pas en écrire des tonnes ce serait mentir et inventer des choses… J’ai aimé être enceinte, je me suis trouvé belle, j’avais un truc en plus… ah oui suis bête ce truc ENORME qui m’empêchait de dormir, de m’asseoir parfois, qui me donnait mal au dos de folie ! Un « je ne sais quoi » qui faisait tomber mes cheveux par poignées, je pouvais en faire des bouquets ! Bon allez ok, j’en reparlerais de l’état végétatif… si si… l’inactivité qui en découle ou presque… (suite à la prochaine épisio au prochain épisode…)

J’ai été dans un état second durant ma grossesse et plus encore le jour de l’accouchement, cet état est encore d’actualité…

Les premiers mois, je ne réalisais pas trop « qu’il était là », un bébé parfait, des nuits qui l’étaient presque, être maman m’allait comme un gant car je n’avais rien à faire… ou presque…

Et puis, Mini Moi a eu 1 an, puis 2, puis 3… Et depuis quelques mois, si j’avais des doutes sur le « métier de maman » il les a terrassés… D’un revers de manche pleine de morve (pourquoi tous les gamins font çà punaise !!!!!!!) il a pulvérisé mes questions et donné du sens à ma vie, à ma vie de maman…

Une maman ça prend du temps pour son enfant, une maman ça donne la main tout le temps. Une maman ça protège, une maman ça explique l’inexplicable, une maman ça écoute et ça comprend l’incompréhensible. Une maman ça parle pendant des heures, ça raconte des histoires et ça invente des choses folles ! Une maman c’est toujours « belle », ça a les cheveux doux et ça sent bon tout le temps. Une maman c’est gentil et parfois c’est très méchant, parce qu’une maman ça crie aussi et parfois très souvent… Une maman ça travaille mais plus comme avant, une maman ça rentre tôt et même en courant. Une maman ça fait des bisous et des câlins et ça console les gros chagrins. Une maman ça rigole trop fort et ça fait des blagues de maman. Une maman ça dessine, ça peint, ça compte et ça chante, ça déforme aussi les chansons. Une maman ça invente et ça ment à papa (chut !), ça fait aussi des bêtises… Une maman ça pleure aussi quand elle est fatiguée et qu’elle en a marre d’être une maman car elle pense être une mauvaise maman… Une maman est là tout le temps avec son enfant, car même si son corps est ailleurs c’est avec son enfant qu’elle est trop très souvent. Une maman ça ne va pas à l’école des mamans mais ça demande souvent à sa maman comment il faut faire et puis des fois ça fait tout le contraire. Une maman ça aime de tout son cœur de maman et même plus qu’elle n’aurait imaginé, une maman c’est rempli de tellement d’amour que parfois ça voudrait plein d’enfants pour pouvoir partager. Une maman ça trouve toujours les mots pour tout même si parfois ce ne sont pas ceux qu’on attend… Une maman ça nous aime pour la vie, ça nous donne tout et on a envie de lui rendre… Une maman, la nôtre est unique et on l’aime tous différemment… Une maman, ça reste une maman que l’on soit petit ou grand… Une maman ça ne va pas à l’école des mamans, mais chaque jour qui passe la rend meilleure, la meilleure des mamans de l’univers jusqu’au ciel et les étoiles… Mon fils a de la chance de m’avoir comme maman et moi je me sens meilleure chaque jour qui passe, car j’ai le meilleur des enfants… le mien… l’éternel petit garçon à sa maman…

Etre maman n’est pas une fin en soi, mais c’est le début de quelque chose, d’une belle aventure, il m’aura fallut presque 3 ans pour prendre conscience de tout ce que je peux et dois apporter à Mini Moi. J’ai compris que je ne lui étais pas simplement utile, je suis INDISPENSABLE tout comme il m’est vital…

Je ne remporterai jamais le prix de la meilleure maman, car je m’énerve vite, je crie, mais je remporterai sûrement le prix du meilleur câlin de la terre et de l’univers et surtout surtout surtout le prix de la plus jolie des mamans dans le cœur de mon enfant…

 

 

Ce que j'aime, Paroles de ChaCha

Numéro 16…

12/09/2014

Elle est nichée en haut d’une montagne espagnole, en Galice… dans un tout petit village « Portomourisco« …

Elle est à l’abri des regards, en haut d’une pente à 45° aussi impressionante que dangereuse été comme hiver…

Sur son toit, ou plutôt sa terrasse on y voit un pont, l’un des plus hauts d’Europe et non loin de là, une station de ski… On y voit aussi tout le village, on devine l’église, le cimetière, la chapelle et on y voit même les maisons des cousins, car oui là-bas on est tous cousins…

Elle a bercé 3 générations, vu naître et grandir certains et mourir d’autres… Elle a accueilli en son sein des éclats de rire, des éclats de voix, des pleurs et une infinie tendresse…

Elle a bercé ma jeunesse, j’y ai vécu presqu’à la dérobée les heures les plus marquantes de toute ma vie…

J’y suis allé souvent mais jamais assez longtemps…

Dans cette maison animée davantage l »été que l’hiver, je me souviens du respect, de la pudeur et de cet amour infini qu’elle renfermait…

Je me souviens de cette complicité, de l’admiration sans limite que je vouais à ceux qui y vivaient…

Je me souviens de la porte ouverte, de la clé de la « bodega » qu’il fallait accrocher près de la porte vitrée comme si c’était hier…

Je me rappelle des peurs bleues que j’avais parfois d’aller chercher ne serait ce qu’une bouteille d’eau au fond de la bodega

Je me souviens des odeurs de naphtaline et de cuisine mélangés… Ces mêmes odeurs rassurantes que je peine à retrouver aujourd’hui…

Je me souviens des ronflements de mon père et du couloir qu’il fallait traverser pour aller jusqu’aux chambres et qui me terrifiait lui aussi enfant…

Je me souviens des armoires et des tiroirs, des chapelets et des livres de prières… Je me souviens du parfum et d’un rouge à lèvres… rouge…

Je me souviens d’une casquette en feutre ou en tissu posée négligemment sur une tête où il n’y avait plus beaucoup de cheveux…

Je me souviens de ma mère bras dessus/dessous avec ma grand-mère pour aller à la messe…

Je me souviens d’un gilet sur une robe, d’un éventail ou encore d’un mouchoir… d’une « bata » enfilée sitôt rentrée à la maison…

Je me souviens du cuivre, des repas interminables dans cette cuisine et les siestes qui suivaient…

Je me souviens de ces chaises inclinables sur lesquelles je rêvais de monter, mais qui leurs étaient réservées.

Je me souviens de l’ennui parfois causé par les adultes qui nous tenaient là enfermés, alors qu’il faisait si beau dehors et que je n’avais qu’une envie c’était d’aller « al Rio« …

Je me souviens des vignes, d’un tuyau d’arrosage et des bottes kakis que j’essayais en cachette et qui étaient bien trop grandes pour moi…

Je me souviens de l’attitude qu’il fallait avoir pour ne pas décevoir…

Je me souviens des moqueries, des fautes en espagnol moins courantes que celles en français mais il ne fallait rien dire…

Je me souviens de cet hiver où je leur avais fait la surprise de venir, seule, ce qui m’était interdit jusqu’alors…

Je me souviens de cette exlusivité, de cette chance de passer quelques heures dans cette maison que je découvrais l’hiver…

Je me souviens de ces mains ridées mais toujours fermes, de ces gestes assurés malgré le poids des années…

Je me souviens de « la merienda » de « la barra de pan » et du chocolat milka… J’en ai encore le goût dans la bouche…

Je me souviens de « las pipas » (graines de tournesol) dont je recrachais « la peau » toujours plus loin au bas des escaliers…

Je me souviens de la porte ouverte mais souvent fermée à cause des mouches… et cette fameuse tapette à mouches ou encore cette main si agile qui attrapait les mouches Dieu seul sait comment…

Je revois ce puits en pierre aussi intrigant que pittoresque…

Je me revois mangeant des tomates à la taille hors normes, des fruits aussi beaux que bons et des légumes qui vous feraient changer d’avis si vous n’aimez pas ça…

J’ai l’odeur du « licor café » qui me chatouille le nez tout comme celui de « l’aguardiente« , lorsque la cuisine se transformait en distillerie clandestine…

Je revois cette table où chacun avait sa place, un couteau bien particulier pour une personne bien particulière…

Et puis « le chorizo« … car on y faisait le meilleur chorizo de l’univers…

Au numéro 16, si la porte n’était pas toujours ouverte, les fenêtres elles, l’étaient stores descendus…

Au numéro 16, j’arrivais en courant, en criant « Mémé ! », « Abuela ! », « Abuelo ! »…

Au numéro 16, j’avais le coeur serré par la hâte de les retrouver… tout comme lorsque je les quittais avec la crainte de ne plus les revoir…

Au numéro 16, aujourd’hui, la porte et les fenêtres sont fermées, la clé de la bodega est toujours à sa place, personne n’a oublié de la ranger.

Au numéro 16, il n’y a plus d’odeur de naphataline et dans la cuisine les cuivres ont disparu…

Au numéro 16, le silence règne, un silence pesant, un silence de mort…

Au numéro 16, la mort m’a pris mes modèles, elle m’a volé ceux qui m’ont donné ma maman… elle a volé mon âme d’enfant…

Au numéro 16, j’avais quelques repères, des rendez-vous inmanquables…

Depuis 5 ans environ, je me poste le coeur lourd devant la porte du numéro 16 au mois d’août, je ne bouge pas, je retiens mon souffle, j’ai cet espoir absolument con que la porte s’ouvrira à nouveau, au moins une dernière fois et que j’entendrais mon prénom…

Après quelques minutes interminables sans retenir mes larmes, je m’en vais au cimetière…

Au numéro 16, au « Lumbeiro« , vivaient ma Mémé et mon Pépé…

 

 

 

 

 

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quand tu dors…

18/07/2014

Cela fait environ 1 290 nuits que je le regarde dormir…

Je n’ai raté qu’un seul de ses dodos depuis qu’il a vu le jour… En maman poule que je suis je n’arrive pas à m’éloigner… surtout la nuit…

Chaque nuit, c’est mon rituel, je m’approche de son visage, ma main effleure ses narines silencieuses ou presque… et je sens son souffle… Ce souffle, qui me rassure et me tempère depuis près de 1 290 merveilleuses nuits…

Parfois j’attarde ma main sur son visage rond, je lui dessine une courbe aimante et bien souvent il ne bouge même pas…

Alors nous sommes en communion, l’appaisement que me procurent ces gestes doit l’apaiser tout autant, car il a souvent les sourcils froncés quand il dort, comme sa maman… et hop ce vilain mouvement qui m’a creusé une vilaine « ride du lion » disparait… comme par enchantement et sans que le reste de son petit corps en boule ne tremble…

Que je me couche tôt, que je me couche tard il en est ainsi… je pousse un peu plus la porte déjà entrouverte, m’approche à pas de louve et le regarde d’abord… Il est à moi, c’est ma proie… j’aimerai lui sauter dessus, le saisir et le manger… de bisous évidemment… couvrir de baisers son petit corps tout entier… ce petit corps qui grandit bien trop vite…

Depuis quelques semaines, il dort dans son lit « de grand », nous lisons une histoire presque chaque soir et je m’allonge parfois près de lui, mais « pas sous la couverture Maman, c’est interdit de se coucher avec ses habits, ils sont sales va mettre ton pyjama »… il est attendrissant et autoritaire, comme… sa mère…

Alors nous nous quittons bons amis, avec la promesse de nous retrouver le lendemain matin… Il s’endort serein… Son papa n’est jamais bien loin…

Et quelques heures plus tard, parfois quelques minutes, je suis happée par lui… et mon désir/besoin de tendresse prend le dessus… je le tempère… et m’approche à pas de louve… à pas de Maman…

 

photos persos

photos persos

Ce que j'aime, Paroles de ChaCha

faussement vulnérable…

09/06/2014

Il exite une « espèce » de personnes qui fait partie de notre quotidien…

Ces personnes sont souvent des femmes, mais l’équivalent existe au masculin, même si j’en ai rencontré beaucoup moins…

Cette espèce est loin d’être en voie de disparition, on dirait d’ailleurs qu’elle fleurie de plus en plus et, entre nous, rien à voir avec les beaux jours…

Cette espèce donc, partage votre quotidien, (sisi, regardez bien)…

Elle vous apprivoise, s’intéresse à vous, à vos « petits soucis », s’approche de vous et se rapproche du coup, vous touche et devient (patatras) cette personne qui vous poignardera dans quelques temps (au mieux) et vous méprisera (au pire)…

Cette espèce frappe (insidieusement) de jour comme de nuit… de préférence dans ces moments où vous lachez prise, où vous pensez que l’amitié a pris ses quartiers… et paf dans ta bouche… dommages collatéraux et tout le tintouin…

Cette espèce n’a pas de visage, pas de signe distinctif, pas de physique particulier, telle un caméléon elle s’adapte, s’installe et parfois même devient essentielle à votre existence (hum hum hum, çà c’est ce que vous croyez les premiers temps…)

Ce qui caractérise (et me révolte soyons clair !) cette espèce c’est ce don, de faire semblant, de s’appitoyer ou de trouver en vous (nous) une oreille attentive (la réciproque est vraie !) de se nourrir de vos/nos faiblesses pour aller ensuite cancaner, que dis-je jubiler de ces confidences faites presque sur l’oreiller… dans un moment d’égarement ou de fausse complicité…

Vous vous trouvez de nombreux points communs, vous vous accrochez attachez à cette personne, vous la trouvez belle sous toutes les coutures et trouvez en elle une espèce de bouffée d’oxyène… que même vos ami(e)s de longue date n’arrivent pas à concurrencer (pauvre imbécile !!! ta meilleure amie est et restera toujours LA MEILLEURE, NO WAY !!! bisous forts au passage Mademoiselle K.)

Les réseaux sociaux favorisent la prolifération de cette espèce… Vous passez de plus en plus de temps derrière votre écran, il suffit d’un like sous une photo ou d’un(e) ami(e) en commun et badaboum vous voilà les meilleur(e)s ami(e)s du monde, prêt(e)s à se démolir en un clik de souris…

Nous faisons tous les frais de cette société 2.0 (enfin plutôt 0, niveau rapports humains…), nous chérissons toutes ces nouvelles technologies (moi la première !) et multiplions les apparitions sur ces réseaux : facebook, instagram, twitter, blogs… Un j’aime, un commentaire et on a l’impression (absurde) d’exister… Nous nous emballons, de l’amitié prête à emporter…

Dans la vraie vie, c’est un peu plus rare, mais pas moins violent… Néanmoins sur nos lieux de travail, dans nos familles et/ou belles familles, il suffit d’être une pièce « rapportée », voire ne pas être à l’aise et développer une espèce d’instinct de survie qui vous/nous pousse vers quelqu’un… le mal est fait…

Je vous interdis d’être une victime ! Vous m’entendez ! ça fait trop mal et c’est une p** de perte de temps !

Bien sûr on a envie de nouveauté, on a envie de se laisser porter par cette personne qui nous endort pourrit illumine… Je ne dis pas qu’il ne faut pas ouvrir notre coeur à de nouvelles et prometteuses amitiés naissantes, mais il faut essayer de rester lucide et pudique… (heu ChaCha tu tiens un blog 100 % toi, tu n’es pas crédible ! et bah si na !!! fais ce que je dis pas ce que je fais !!!)

Pour finir (et non pas conclure), je dirai qu’il faut vivre pleinement les choses, multiplier les rencontres et, si je puis me permettre, en amitité avant de livrer ses faiblesses ou ses défauts (qui bien souvent n’en sont que pour nous !), essayer de montrer le meilleur de soi… parfois dans ces « amitiés » éphémères, lorsque vous allez trop bien et surtout trop longtemps ça ne tient pas… n’oubliez pas que je parle d’une espèce de personnes… pas des personnes en général… à vous de vous blinder et d’offrir le meilleur de vous même à celui ou celle qui le mérite…

 

Besitos !

 

CONFIA-paulo-coelho-frases

 

 

Ce que j'aime, Paroles de ChaCha

petit frère…

17/04/2014

tomy 4

J’ai toujours rêvé d’avoir un grand frère…

Pourquoi ? Peut être parce que j’avais envie ou besoin de quelqu’un qui me protège, quelqu’un qui soit mon modèle, quelqu’un que j’admire et que je puisse brandir comme un trophée à tout bout de  champ…

Je le voyais grand, fort, beau et protecteur… Je le voyais brun et je l’entendais de loin dire fièrement « c’est ma petite soeur… » « touche pas à ma soeur… »

J’avais besoin d’être prise par la main, de pouvoir respecter quelqu’un et de pouvoir chercher sur son visage des ressemblances… Je voulais être un éternel bébé… Je voulais me sentir aimée et considérée par la chair de ma chair… grand, fort, beau…

Oui, mais non…

Je n’ai pas de grand frère, c’est moi qui porte le lourd poids des responsabilités fraternelles… C’est moi qui suis une référence et c’est à moi de montrer l’exemple ou pas

J’ai donc ce que l’on appelle un « petit frère« … si j’utilise les guillemets c’est parce que cette petite touffe de boucles chatain mesure aujourd’hui 1m92…

Oui, alors bon ok je ne suis pas minuscule mais du haut de mon mètre 73, je dois me mettre sur la pointe des pieds pour l’embrasser, ou il doit se baisser un peu comme le Géant Vert de la pub… la loose quoi !

Alors petit, petit… #crotte de chiottes#

J’ai quelques souvenirs et les photos aidant, je sais que ce sentiment de fièrté que je rêvais de vivre en entendant « c’est ma petite soeur », s’est avéré décuplé, parce que tout simplement j’avais un petit frère

J’ai aimé le choyer, le prendre par la main lui faire des câlins et j’ai aimé qu’il soit ma poupée…

J’ai aimé grandir avec quelqu’un qui n’aimait rien comme moi, qui ne faisait rien comme moi, j’ai aimé nos différences… du moins jusqu’à l’adolescence…

Parce que oui, putaindebordeldechiottes, ça prend de la place un petit frère !

ça fait du foot, ça aime les voitures, ça fait du kart et ça embarque tout le monde avec lui… Les week end au stade, ou encore sur les pistes… et là tu te rends compte que tu n’es QUE une grande soeur… Une grande soeur qui fait de la danse, qui fait du tennis, qui ne déplace pas les foules… Et puis, tu deviens transparente…

Alors là, ce petit frère tu commences à le détester, à le jalouser… tu te demandes ce que cette miniature de toi (parce qu’en plus il me ressemble !) a de plus que toi ! Ok ! il est mignon à croquer (moi aussi dans mon genre), ok il est plus doué que toi à l’école (pas dur, j’étais limite un cancre…) Tout ce qu’il touche met en extase tes parents et toi, les bras ballants tu essaies de le concurrencer… mais il te bat à plates coutures… de toute façon, tu es transparente…

Je n’ai pas des parents indignes hein… j’ai eu aussi mes privilèges… j’ai eu un scooter MOI ! J’étais toujours tirée à quatre épingles et Dieu merci, je ne portais pas des jogging TONY BOY, ni les total look improbables que ma maman jugeait pourtant au poil pour son petit garçon modèle… #fou rire# chacun sa croix !!

Et puis j’ai eu des envies d’ailleurs, j’ai eu envie de revenir à des origines empruntées à mon papa et personne n’a voulu m’entendre… lorsque j’ai voulu m’expatrier, il n’y a rien eu à faire… mais lui, lui, lui, lui… le petit frère , il est parti le bougre ! quelques années plus tard, il est parti… sans efforts, promis à un avenir professionnel…  Je l’ai haït, maudit, autant que j’étais jalouse…

J’avais pourtant un chouette boulot, trouvé un semblant d’équilibre, mais je le regardais de travers de mes yeux emplis de rancoeur et de jalousie malsaine…

Et puis, un jour je me suis « réveillée »… j’ai compris que j’avais une mission… J’étais une grande soeur après tout, ça n’est pas rien… ça avait un sens et ça devrait donner du sens à ma vie… Quelle bêtise d’être jalouse d’un petit frère qui après tout et avec la meilleure volonté du monde resterait quoi qu’il arrive un petit frère… un être fragile, à qui je devais donner l’exemple, quelqu’un que je devrais aider… à ma manière, à mes conditions et avec mes moyens…

Je n’ai rien de la grande soeur idéale, on se chamaille tout le temps, on est d’accord sur rien et parfois je lui mettrais bien un aller-retour France/Portugal dans les dents…

Et puis il y a toutes ces fois, où je pense que je ne serai JAMAIS seule… Que quelqu’un sera là pour me protéger, pour veiller sur moi, sur mon fils… D’ailleurs mon petit frère est le parrain de mon fils et  vous l’aurez compris… c’est important pour moi…

Mon petit frère est imparfait et c’est peu de le dire, mais suis-je parfaite ?… Je l’ai aimé autant que je l’ai détesté…

Mais Plus par Moins, ça fera toujours plus… Et je l’aimerai toute ma vie…

Tant pis si on est en carton lui et moi, tant pis si on ne comprend pas, tant pis s’il me fait enrager…

Mon petit frère c’est beaucoup de moi, alors peut être est-ce pour cela que parfois c’est difficile pour moi…

Dans son regard, je verrai toujours celui de mon père, dans sa tendresse, je verrai toujours ma mère…

Mon petit frère est un peu le reflet de mon âme… torturé, certes, mais passionné et passionnant…

Je t’aime petit con frère

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