Catégorie

Paroles de ChaCha

Ce que j'aime, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha, Test produit

On a testé la poussette CityLink III de Red Castle #bandedeparents

24/03/2018

Depuis maintenant quelques semaines, nous avons à la maison un nouveau moyen de locomotion pour MiniMoi2 : la poussette CityLink III de la marque Red Castle, sur le marché depuis fin 2017.

J’ai une fois encore le plaisir et l’honneur de tester un produit dans le cadre de ma participation au programme #bandedeparents Béaba et Red Castle cette année encore.

Voici donc la vidéo officielle de la CITYLINK III avec un très beau jeune homme pour nous la montrer ^^ ce qui ne gâche rien.

Nous l’avons reçue en noir et non en blanc comme sur la vidéo et j’avoue que c’est la version que je préfère, je trouve qu’elle a beaucoup d’allure !

C’est une poussette citadine et compacte, ce qui veut un peut tout et rien dire, mais qui en tout cas est adaptée à notre style de vie : les pavés, les trottoirs étroits, les montées et les descentes, les parkings, la course pour arriver à l’heure à l’école ou à la crèche et AUSSI un poids plume et une taille mini une fois pliée pour rentrer sans effort dans le coffre de ma voiture.

La première chose frappante, c’est évidemment son design : sa poignée et sa barre de protection frontale en simili cuir marron, viennent parfaire une jolie finition, ses roues blanches (j’adore !) et son assise moelleuse sans compter le détail du logo RED CASTLE en rappel sur le protège épaule. Ce sont des éléments qui la différencie de la plupart des poussettes citadines compactes, pour lesquelles le design est là sans pour autant mettre le paquet sur les finitions et le confort.

MiniMoi2 adore la position assise, évidemment avec les mains posées fièrement sur la barre de sécurité, mais il ne se fait pas prier pour piquer un petit roupillon quand la balade se prolonge…

Voici quelques caractéristiques technique complémentaires , que vous pouvez retrouver ici :

  • Poignée deux positions, réglable en hauteur
  • Roues avant 360° ou fixe
  • Se plie et se déplie en quelques secondes en un tour de main
  • Harnais 5 points + barre de protection frontale
  • Protège pluie, vent et froid

Elle coûte entre 190 et 220 € selon les revendeurs, ce qui en fait une poussette assez compétitive sur le marché puisque l’on peut l’utiliser dès les premiers mois de bébé, attention* toutefois car elle est face route, du coup pour les premiers jours de bébé ce n’est pas forcément l’idéal. De plus, si vous optez pour une utilisation dès la naissance, prévoyez la chancelière Red Castle (environ 60€), dont vous pourrez trouver le descriptif ICI.

Nous ce qu’on aime c’est de pouvoir ajuster la poignée sur 2 positions : papa est grand et MiniMoi1 est un parfait grand-frère qui pousse fièrement ce bolide ^^.

On aime aussi les roues avant qui tournent à 360° ce qui la rend vraiment très très maniable, juste un petit bémol pour la montée des trottoirs, les roues avant sont peut-être un chouille petite.

On adore le panier à provision sous la poussette, tout y passe : ballon, goûter, courses prévues et imprévues ^^.

On aime aussi que l’habillage pluie (et vent !) soit inclus, c’est tellement pénible les habillages pluie universels ou de penser à en acheter un, surtout qu’en moyenne il faut compter 25 € en plus…

Je reviens dessus, mais vous n’imaginez  pas à quel point l’assise est rembourrée et donc moelleuse, c’est vraiment à mon sens l’un des gros + de cette poussette.

Voilà pour mes (nos) impressions sur cette jolie poussette CITYLINK III !

Vous la connaissez ? Vous l’avez essayée ou déjà vue ?

Encore merci à Red Castle pour sa confiance et ce test qui ravi toute la famille !

Soyez heureux, Soyez à l’heure

Bisous

NataCha

 

 

 

Paroles de ChaCha

Adios Abuela…

13/03/2018

Lorsque j’étais enfant, chaque été, j’avais la chance de passer un peu si peu de temps chez mes grands-parents maternels en Espagne.

Ces quelques jours, même si trop courts, me remplissaient le cœur d’un je-ne-sais quoi, une sensation de plénitude, l’air de la montagne peut-être…

J’étais une fille de la ville et je le suis toujours, être là-bas était un peu exotique : de magnifiques paysages, une chaleur étouffante, une vie en suspens où tout est ralenti, voire décalé… du lever au coucher, en passant par la sieste obligatoire et les interminables déjeuners.

Nos jours, nos heures étaient comptés, je le savais mais avec le temps, les années ce sentiment s’est exacerbé.

Les vacances, nous le savons tous, passent bien trop vite, que dire d’une semaine voire 4 ou 5 jours, à peine le temps de s’acclimater, de s’habituer les uns aux autres et de nouer de vraies amitiés.

Avec le temps, paradoxe paradoxal, j’avais envie de passer plus de temps avec mes grands-parents et à la fois, je n’avais qu’une envie c’était de rester dehors et profiter de la nature et des autres jeunes qui, comme moi passaient leurs vacances (bien plus longues que les miennes) chez leurs grands-parents.

Je savais avec le temps, que le temps justement était compté… On voit rarement vieillir ceux que l’on aime… J’entends par là, objectivement… bien sûr on voit les rides se dessiner, bien sûr on les entend s’essouffler, assurément on les voit le dos courbé, mais jamais au grand jamais on ne veut s’imaginer…

La vie sans eux, c’est impossible, ce serait comme manquer d’air, manquer de repaires.

Inconsciemment on repousse les « au revoir », avec cette boule au ventre et cette peur de ne plus les revoir, parce qu’un an c’est long, parce qu’ils ne viendront plus en France et parce que venir pendant l’année personne n’y songe vraiment, mais pourquoi ?…

Un jour on s’aperçoit que c’était finalement la dernière fois, on va chercher tout au fond de sa mémoire, une voix, une odeur, un numéro 16, on se frotte les yeux, on se prend la tête, on ne veut pas oublier, on ne doit pas les oublier…

On repense à cet au revoir banal, à cette répétition d’adieux années après années, évidemment les larmes ont coulé, évidemment c’est un mélange de tristesse, de nostalgie et de peur, peur de ne plus les retrouver, de ne plus les serrer… fort… encore…

Avec le temps et même si le souvenir est encore présent, ce sentiment s’était atténué et puis lentement il s’est réinstallé…

Mes parents désormais vivent à l’étranger, au Portugal et même si les temps ont changé, même si la séparation est moins longue, cette petite boule s’est installée, au creux de moi, dans ma tête, dans mon ventre et dans mon cœur…

Il se passe parfois 3, 6 mois, peut-être plus sans que je ne les vois et malgré tout, je n’arrive pas à faire taire cette petite voix « et si c’était la dernière fois ? » Je sais que ma maman va lire ces lignes et je ne veux pas lui faire de mal, évidemment je ne lui ai jamais dit, mais c’est plus fort que moi.

Mes parents ne sont pas vieux, mais ils ne sont pas jeunes non plus, mais ce n’est pas pour eux que j’ai peur, pourquoi devraient-ils partir avant moi d’abord ? J’ai souvent peur qu’il m’arrive quelque chose, on le sait tous, ça n’arrive pas qu’aux autres…

Je sais bien que s’ils vivaient dans le même pays, ce serait sans doute différent, la distance est responsable de mon impuissance face au temps qui passe, et j’ai mal au cœur à chaque « au revoir ».

Bien sûr, à vol d’oiseau ou d’avion plus exactement ils sont à 1h50 de moi et moi d’eux, mais nous savons tous qu’il est difficile de pouvoir partir autant de fois que l’on voudrait…

Je parle souvent à mes parents au téléphone comme si de rien était et parfois j’ai du mal à encaisser cette distance.

Je n’ai parfois même pas envie de parler à ma maman parce que j’ai l’impression d’entendre la distance dans la conversation, qu’elle est là tapie dans l’ombre et qu’elle pèse sur le combiné, qu’elle intensifie le poids de chacun de nos mots et qu’elle creuse, encore un petit peu…

J’ai beaucoup de regrets avec mes grands-parents, mais je me félicite tout de même de ma visite surprise en plein hiver, seule alors que personne ne m’attendait…

Tout comme je me félicite de pouvoir surprendre encore mes parents parfois, tout comme nous l’avons fait avec mes fils il y a quelques jours…

La distance, la nostalgie, l’amour de ceux qui sont loin… C’est parfois tellement lourd, je me sens coupable d’un acte que je n’ai pas commis, ils sont partis c’est leur vie.

Abuela, grand-mère en espagnol, quand j’appelais ma mémé, Abuelo quand j’appelais mon pépé.  Abuelita, grand-mère chérie, c’est comme ça que mes enfants appellent ma maman et Vôvô mon papa…

 

Adios Abuela, adios Abuelo…

Hasta luego Abuelita, até breve Vôvô  <3

 

 

 

 

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

La routine

12/03/2018

Elle le regarde, il est là dans la même pièce et pourtant si loin.

Elle voudrait lui dire quelque chose, lui demander d’arrêter, elle voudrait arrêter le temps.

Quand est-ce que ça a commencé, quand la magie a t-elle pris fin ?

Depuis combien de temps ne lui a t-il pas pris la main ?

Elle le frôle, le dévisage mais aucun son ne sort de sa bouche.

Elle le cherche du regard, le provoque avec une ou deux phrases choc, mais rien.

Elle, qu’a t-elle fait ou qu’aurait-elle dû faire ? Lui parler davantage ou se taire ?

Qui a commencé avant que cela ne finisse ? Où en est leur amour, avant que la routine ne s’immisce ?

Sont-ils encore heureux, peut-on dire qu’ils sont amoureux ?

Le réveil sonne chaque matin, les mêmes gestes, les mêmes scènes se répètent dans les mêmes pièces de cette maison froide.

Il n’y a pourtant aucun geste méchant, aucun reproche assurément, rien de plus qu’un silence assourdissant.

Des draps froissés, une lumière qui s’allume, le micro-ondes qui « bip », une cuillère qui tinte, un emballage que l’on froisse, une poubelle qui se ferme. Ces bruits s’accumulent et deviennent un cauchemar, alors même qu’elle traine des pieds pour le rejoindre et devant lui s’asseoir.

Ils échangent à peine un regard, il se lève emporte avec lui sa tasse et tous ses espoirs, la laissant là pleine de désespoir…

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

Avant de s’endormir…

11/03/2018

Elle voudrait éteindre la lumière, remonter la couette et simplement fermer les yeux, mais il n’en est rien.

Elle se relève, son téléphone à la main pour l’éclairer et s’approche de son tout-petit pour l’entendre respirer… Cela dure 3 secondes, guère plus, mais cela suffit à la rassurer…

A pas de loup, elle quitte la première chambre et fait irruption dans la seconde, avec la même minutie comme s’il y avait une bombe. Les ronflements la rassurent, mais c’est la couette et cette jambe qui ne veut jamais rester en place qui ont toute son attention et c’est avec précision, dans la pénombre qu’elle réajuste la position de son petit champion.

Elle se retrouve sur le palier des chambres un peu désorientée, comme si elle avait oublié ce qu’elle venait chercher.

Etourdie et résignée, elle retourne se coucher. Elle jette un dernier coup d’œil sur son téléphone, vérifie les notifications, les pouces levés ou les cœurs affichés : Instagram, Facebook, elle ne peut s’en empêcher.

Il est tant, grand temps de débrancher, pour autant elle ne va pas y arriver. Elle prendrait bien un livre, mais elle serait bien capable de le terminer.

D’une main elle éteint l’écran, de l’autre amorce un pénible retournement et se persuade que c’est l’heure, oui l’heure de dormir profondément.

Ajuster l’oreiller, se caler, rassembler les paumes et ne pas oublier de prier, de remercier Dieu pour cette journée écoulée et fermer les yeux plus fort.

Fermer les yeux et dormir, le rêve, le luxe qu’elle ne s’offre pas. Sa tête et son esprit son très forts à ce jeu là et la torture commencera là.

Et si ?

Et pourquoi ?

Et combien ?

Et pourquoi pas ?

Et quand ?

Et qui ?

Et j’aurai dû…

Et j’aurai pu…

Et si j’avais…

Un tourbillon d’interrogations, de doute, d’images qui repassent dans sa tête et son cœur qui s’emballe.

Elle est persuadée qu’elle n’est pas normale…

Elle est fatiguée, si fatiguée pourtant, physiquement et moralement elle devrait dormir à présent.

Perfectionniste, hyper sensible, le cerveau toujours bouillant, peu de gens le savent, mais c’est éprouvant et paradoxalement épuisant, même si le marchand de sable ne fait pas semblant.

Alors elle repousse cet instant… Elle voudrait juste pouvoir s’étendre et étirer tous ses membres. Attendre patiemment sans réfléchir que son cerveau sache bien se tenir.

Faire, défaire, envisager, écrire, imaginer, avoir peur d’oublier et vouloir oublier, vouloir se laisser aller.

Partir…  Dormir, sans compter, dormir sans compter, ne pas se rendre compte qu’elle s’est endormie sans difficulté.

Avant de s’endormir, chaque soir, elle se plaît à divaguer…

Tantôt heureuse, tantôt fâchée, bien souvent très inspirée, elle repousse encore et encore l’heure du coucher.

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

Elle ne dansera pas ce soir…

10/03/2018

Ce soir elle aurait dû porter une jolie robe, enfiler des chaussures à talons et forcer un peu sur le maquillage.

Elle aurait aussi vérifié la tenue de son amoureux, déposé les garçons chez papi et mamie et couru main dans la main avec son chéri, pleine d’entrain, mais ce soir il n’en sera rien.

Ce soir elle aurait dû arriver au bras de celui qu’elle aime et distribuer des bisous, des sourires, elle aurait dû retrouver des gens qu’elle n’a pas vu depuis une éternité.

Cette soirée, elle l’avait imaginé joyeuse et pleine de fierté… La famille, les amis, tous heureux de se retrouver.

Ce soir, c’est jusqu’à l’aube qu’elle aurait dû danser, elle aurait fait claquer ses talons avec la fougue qui la caractérise et s’abandonner.

Ce soir, elle aurait échangé quelques mots avec celui qu’elle a tant aimé et qui a tant compté, car c’est pour lui qu’elle se serait déplacée.

Et puis non, pas ce soir…

La nuit tombera, la musique résonnera peut-être même jusqu’à ses oreilles, mais elle ne sera pas là, pas là-bas.

Elle a dû mal à y croire, mal au cœur et le vague à l’âme, elle se résout à sa propre absence, dans l’indifférence et en silence.

Elle s’assied et écrit le combien son cœur est meurtri.

Elle se remémore péniblement les années complices : l’enfance, l’adolescence, les premiers pas dans la vie adulte et l’éloignement.

L’éloignement, cette distance encore plus cruelle ce soir, qui bientôt sera insignifiante puisque l’important est ailleurs, mais l’instant présent apporte son lot de douleur.

Elle ne dansera pas ce soir, ni avec lui, ni avec personne, la faute à une ou plusieurs personnes… Elle aurait voulu faire une autre rime en « onne »…

Elle ne dansera pas ce soir, parce que le manque d’amour des gens la ronge, parce que l’égoïsme de beaucoup l’étouffe et parce que l’amour propre, l’emporte !

Elle ne dansera pas ce soir, elle dispensera certains de son rire puissant, de ses grands gestes et de ses arguments. Certains remarqueront son absence, d’autres feront semblant, presque reconnaissants de ce vide, de ce silence.

Elle ne dansera pas ce soir, elle brillera une fois encore par son absence, à la différence près que ce soir on l’attendait.

Elle ne dansera pas ce soir, fière et élégante elle a décliné l’invitation, puisque dans sa famille on préfère, on évalue, on calcule… 

Elle ne dansera pas ce soir… 

 

 

grossesse, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha

Les indispensables de mon bébé #la poussette DOONA

26/02/2018

Il y a quelques mois, j’ai eu la chance de remporter un super lot sur Instagram : une poussette DOONA de la marque Simple Parenting.

J’ai participé à ce concours en mai dernier (oui je sais ça date !) sur le compte Instagram d’une boutique en ligne à l’occasion de la Fête des mères et contre toute attente : j’ai gagné !

Je reviens aujourd’hui dessus, car cette poussette a révolutionné mon quotidien, que dis-je ma vie ! Je rédigeais d’ailleurs il y a quelques temps un article ici sur les poussettes compactes qui avaient retenu toute mon attention et sur lesquelles je louchais sérieusement, en remplacement de notre Trio Living de Chicco.

Souvenez-vous, ce que je mettais en avant était le fait que je me déplace TOUT le temps en voiture et qu’il me fallait donc une poussette en plus d’être compacte, ultra légère pour épargner ma pauvre carcasse mon pauvre dos, mais je ne connaissais pas encore cette merveille pour l’envisager.

Voici donc en vidéo un aperçu de la DOONA !

Elle est SUPER pratique car Mini Moi2 s’en sert encore à 15 mois (demain), c’est elle que nous avons choisi pour partir en vacances au Portugal, où je me trouve actuellement afin de pouvoir l’utiliser dans les différentes voitures de mes parents sans les embêter avec l’achat d’un siège auto… (croyez-moi ils ont déjà tout en double ^^). La compagnie aérienne RyanAir m’a permis de l’utiliser jusqu’au pied de l’avion et elle m’attendait sur le tarmac à l’arrivée sans frais supplémentaires.

Ce qui est drôle c’est de voir la tête des gens lorsque je la déploie ou encore lorsque les roues se rétractent sous la coque-auto ! J’ai fait des démonstrations dans la rue, en sortant de ma voiture, chez Ikea, en France, au Portugal et chaque fois les gens sont éberlués. Elle est facilement maniable et n’est pas si lourde avec ou sans bébé… Bon Mini Moi2 est plus lourd que la poussette à présent et je serre un peu les dents mais je gère et le MUST c’est lorsqu’il s’endort de ne pas avoir à le réveiller pour le changer de poussette.

Nous sommes partis en vacances en voiture au Portugal et en Espagne avec,  l’été dernier, chaque fois sans la base, directement installée sur l’un des sièges arrière. J’ai pris le TGV pour aller dans le Doubs en juillet dernier et elle passait dans les couloirs du train et je l’ai même installée sur un siège ^^, photo à l’appui.

L’inconvénient de cette poussette mais on s’y fait finalement, c’est qu’elle n’a pas de panier et qu’il faut prévoir des accessoires spécifiques, comme l’habillage pluie (sur mesure ^^), le pare-soleil (que j’ai perdu snif)…

Mini Moi2 l’a utilisée à 7 mois (âge qu’il avait à réception du colis ^^), je ne sais pas si avant j’aurai été aussi enthousiaste car elle est tout de même assez basse.

Depuis environ 2 mois, je m’en sers occasionnellement car Monsieur Doux et moi préférons savoir notre grand bébé plus à l’aise et disposons d’un siège auto JOIE pour les trajets un peu plus long et au quotidien dans mon véhicule. La DOONA quant à elle se glisse dans la voiture de papa pour les trajets occasionnels…

Idem, lorsque nous nous promenons, Mini Moi2 est tourné vers le monde, car j’ai depuis eu la chance de pouvoir tester 2 poussettes compactes que vous avez peut-être pu voir sur mon compte Instagram ;-), j’en parlerai bientôt d’ailleurs <3.

Elle vit ses dernières heures chez nous, malheureusement mais j’espère qu’elle trouvera bientôt une nouvelle famille qui en appréciera toutes les qualités <3. (d’ailleurs si vous êtes intéressé(e)s n’hésitez pas à m’envoyer un message :-))

Vous pouvez l’acheter ici au prix de 379,90 € (les nouveaux coloris sont trop jolis !) et si vous optez pour la base Isofix en plus il faudra rajouter 149,90 €, sachant qu’à 15 mois nous l’utilisons encore c’est super rentable !

Merci encore à ce site de m’avoir permis de gagner cette poussette, qui ne fait l’objet d’aucune collaboration, mais que je me devais de vous faire découvrir, tant son usage a simplifié notre quotidien tout en offrant un certain confort à notre amour n°2.

Alors conquis(e)s ??

Soyez heureux, Soyez à l’heure !

Bisous

NataCha

Paroles de ChaCha

Et maintenant…

14/02/2018

(c) Babouchkatelier

Je suis là, pas tout à fait ici, mais je suis là…

Rien de grave, non bien sûr, la vie est belle…

Combien de fois ai-je eu envie d’écrire ici, de partager des rires, des pleurs, ma folie, combien ?

Combien de choses ai-je à dire ? A qui, pourquoi ?

Le blog, mon blog, ce blog, mon bébé, mon exutoire, mais pas mon journal intime, non.

J’y ai cru un temps, cru que je pouvais tout écrire et puis non… J’ai eu envie ou besoin d’écrire je ne sais plus, pour avoir un écho, pour avoir un retour et puis non…

J’ai réfléchi, encore, trop, toujours et je me suis souvenu le bien que me faisait ce blog au début au tout début… Je riais moi-même en écrivant, car je riais de moi, riais de tout, tournais tout en dérision et j’étais sincère, car mon arme… c’est le rire… J’usais et abusais des putaindebordeldechiottes avant même que les # n’existent, je ne vendais rien, même pas du rêve, j’étais moi, une future mariée avec des « soucis » de future mariée et j’étais drôle…

J’ai changé, oui changé, physiquement, moralement mais je n’ai pas oublié celle que je suis, je l’ai mise de côté, je l’ai abandonnée au prétexte que la vie ne m’a pas forcément épargnée… rien de grave certes, des épisodes, des douleurs physiques et morales, de grosses déceptions et quelques remises en question, rien de grave… Je n’en ai jamais parlé, j’y ai fait allusion, mais la PMA a laissé des traces, elle m’a abîmée, j’ai choisi de ne pas en parler ici, de ne pas partager cette expérience sauf avec celles qui pudiquement me demandent des conseils et à qui, avec toute la bienveillance du monde je parle de temps à autres…

Je suis devenue grave, ma ride du lion de plus en plus profonde, sédentaire, je vis presque cachée depuis bientôt 3 ans, pas recluse mais renfermée, sur moi, sur mes doutes, sur ce que je n’arrive pas à dire et qui m’a tant fait souffrir. De temps à autre, je sors, je rayonne comme disent mes gentilles copines, oui car je prends de la place, je parle fort et je donne de ma personne, je fais rire tant que je peux et puis je rentre dans ma coquille, abîmée…

Complexée, physiquement et socialement, pourtant je suis loin d’être à plaindre, j’ai toute ma tête même si mon cerveau n’est plus autant sollicité, il fonctionne, mon corps lui s’est transformé et je ne l’accepte pas…

Et puis…

PUTAINDEBORDELDECHIOTTES 

Je vais avoir 40 ans cette année ! Le 19 août plus exactement !

Est-ce que j’ai le droit de m’apitoyer ? Est-ce que j’ai le droit de me plaindre ?

La réponse est NON – N. O. N.

Cette année je vais entreprendre ! Oui la première grande nouvelle, c’est que j’ai enfin sauté le pas : j’ai créé ma société.

La seconde, c’est que je vais m’accepter et tout faire pour perdre ces kilos qui me pèsent au propre comme au figuré.

La dernière et non des moindre je vais redevenir MOI, cette tornade d’émotions, cet ouragan de sentiments, cet océan de tendresse, authentique, sincère et fonceuse !

La vie est ce qu’elle est avec son lot de joies et de peines, mais pour qu’il vous arrive quelque chose il faut aussi savoir provoquer le destin !

Positive, je reste lucide, mais j’avance, je ne stagne plus. Je n’ai pas le droit ce n’est pas moi et je n’ai pas envie d’être une autre.

C’est facile de se lever le matin et de se dire, je n’ai envie de rien, je n’ai pas la force, pas la forme, alors que je tiens sur mes 2 jambes et que la vie me sourit, elle m’appelle et je l’entends plus que jamais…

C’est peut-être la crise de la quarantaine, je vous vois déjà sourire, tant mieux c’est le but, c’est peut-être aussi que je suis fatiguée d’être fatiguée et qu’il y a tellement à construire.

Optimiste ! Oui plus que jamais, je dois aller de l’avant et s’il le faut je vous embarque volontiers 🙂

Et maintenant ?

IMG_3564 (1)

Ligne-pointi

Soyez heureux, soyez à l’heure !

Bisous

NataCha

Paroles de ChaCha

Un joli vide-dressing pour enfants à Bois-Colombes Dimanche 14 janvier à la boulangerie, inscrivez-vous !

03/01/2018

L’année 2018 est l’année de mes 40 ans, OUI déjà et NON je ne les fais pas ^^, je compte bien parler de mes résolutions d’ailleurs 😉

J’ai envie que ça bouge cette année plus qu’aucune autre et c’est pourquoi je me lance en créant mon entreprise de services, mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui 🙂

Cela fait très longtemps que j’ai envie d’organiser un vide-dressing mais je ne connaissais pas d’endroit et puis je me disais que je n’avais pas forcément le temps… De plus, comme dans toute organisation d’événement ça prend beaucoup d’énergie et il faut souvent relancer les gens, les motiver et les contenter aussi ^^.

J’ai rencontré il y a quelques mois la charmante Stella de la toute aussi charmante boutique Le Pop Up de Stella 17 rue Edith Cavell à Courbevoie, ville et quartier chers à mon <3 puisque c’est là que j’ai grandi…

IMG_1493

Stella met à la disposition des créateurs, des marques et de certains particuliers, un LOFT événementiel de 110 m2 sur 2 niveaux à Bois-Colombes, au 4 rue Jean Brunet : A LA BOULANGERIE, qui n’est autre… qu’une ancienne boulangerie ! La devanture d’ailleurs est restée intacte à ce jour.

Juste avant Noël elle y a organisé 4 marchés aux créateurs ! Vous pouvez découvrir le compte Instagram dédié à ce joli lieu ci dessous ^^.

Quand j’ai échangé avec Stella sur mon envie, elle m’a dit FONCE ! C’est une super idée, elle-même maman d’une petite puce de 2 ans elle est très sensible à tout ce qui peut faciliter la vie des parents et tout ce qui touche aux enfants en général <3

Aujourd’hui je vous propose de me rejoindre dans cette belle aventure ! 

Si vous avez des vêtements, des chaussures enfant de 0 à 8 ans et pourquoi pas, un peu de petite puériculture (pas de jouets !) et que vous avez horreur des brocantes, alors j’ai la solution !

Réservez votre espace à prix doux jusqu’au vendredi 5 janvier, date de clôture des inscriptions en m’envoyant un petit email : chachalecomptearebours@gmail.com

visuel vide dressing 1401

Je précise que je ne gagne pas d’argent pour ce vide-dressing ^^, j’y mets néanmoins tout mon cœur !

Si vous n’avez rien à vendre mais que vous avez envie de faire un peu de shopping ou de venir nous faire un petit coucou, l’entrée est libre et on sera contentes de vous voir !

Et sinon, dites-moi, vous aimez les vide-dressing en général  ?

Ligne-pointi

Soyez heureux, Soyez à l’heure !

Des bisous

NataCha