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Ma première Poulette Party spéciale Maman : LA POULETTE MUMMY PARTY

04/06/2018

Une jeune femme charmante, Manuela aka Poulette aux multiples casquettes : blogueuse sur Poulette blog, Community manager, RP… est à l’origine d’une série d’événements : la Poulette Party, déclinée selon différents thèmes.

Au mois de mars, je m’étais pré-inscrite, puis j’ai été sélectionnée pour assister et découvrir : LA POULETTE MUMMY PARTY !

Avec ma copine Maman Double, nous nous sommes rendues sur invitation à Paris où nous attendaient (enfin pas que nous ^^) des marques et leurs représentants (pas de costume sombre ni de valise à roulettes ^^).

L’objectif de la Poulette Party ? ou du moins l’un d’entre eux, c’est de permettre de découvrir des marques, des services, des produits ou encore des collections d’enseignes connues ou moins connues et de pouvoir échanger avec elles.

L’idée c’est évidemment d’apprendre plein de choses mais surtout de partager un moment convivial, dans un esprit aussi décontracté que festif. C’est un peu comme salon, dans lequel vous pouvez aborder sans stress les personnes présentes et tout sourire. Pour parfaire la soirée, nous avons pu assister à des ateliers de customisation d’une boîte à goûter, nous avons pu personnaliser un cadre unique aux prénoms de nos enfants dont le texte était calligraphié sous nos yeux à la demande, un atelier de modelage, j’ai réussi à faire une licorne (si si)

Les salons, vous le savez sans doute c’est vraiment mon DADA ! Echanger avec des professionnels passionnés qui vous expliquent la génèse de leur société ou de leur produit phare, c’est très très enrichissant et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles j’en ai fait mon métier, j’adore ce type de partage… Mais je m’éloigne du sujet !

Voici en images les marques présentes ce soir là…

L’omnicuiseur vitalité, Les jouets français, Jet Tours, Bébé 9, Croq’kilos, Les 2 vaches. (c) Tode LePhotographe


Pour moi, les découvertes se sont enchaînées car :

  • je ne connaissais que de nom le programme minceur en ligne Croq’kilos : des menus, des recettes et le nombre de calories, des listes de courses et la possibilité de rejoindre une énorme communauté d’entraide et de motivation appelée « Croqueuses »

  • je n’avais pas encore goûté les nouvelles saveurs bio Les 2 vaches : bio à boire vanille de Madagascar, framboises généreuses et mangues gourmandes

  • je ne suis pas encore partie avec Jet Tours et je ne connaissais pas l’étendue de leurs prestations : circuits et croisières, séjours lointains, signature pour des séjours d’exception, week-ends ou encore vacances en voiture… ça fait rêver et je me suis promis un petit séjour entre copines pour mes 40 ans cette année et un beau voyage avec mon amoureux, alors je feuillette volontiers leur catalogue chaque jour ^^

  • je ne mesurais pas le savoir-faire des Jouets français, un site sur lequel sont regroupées des marques emblématiques « fabriquées en France » comme Vilac, Petitcollin, Tirot, Jeujura et bien d’autres… l’idée est de promouvoir l’artisanat d’excellence

  • ni l’étendue de la gamme Bébé 9 et leur philosophie « Born to be Happy  » : un réseau de boutique et un site internet où vous pouvez trouver TOUT je dis bien TOUT pour bébé, sans oublier un programme de fidélité rempli d’avantages et la possibilité d’établir sa liste de naissance, pratique quoi

  • et 100% découverte pour l’Omnicuiseur vitalité (Prix NUTRIDOR 2016) qui permet une cuisson à basse température en préservant le goût naturel des aliments, leurs vitamines et les sels minéraux. On peut régaler sainement toute la famille de l’entrée au dessert #miam.


Une petite vidéo pour vous montrer un peu l’ambiance ? C’est par ici ! 

J’ai vraiment passé un chouette moment ! Manuela a tout orchestré d’une main de maître, elle nous a gâtées sur tous les plans : la convivialité, la bonne humeur, la bienveillance et puis… qu’est ce qu’on a ri !

Je finis cette article en remerciant évidemment Manuela pour cette délicieuse soirée,

les cadeaux, le magnifique sac.

Je remercie toutes les personnes présentes qui ont pris le temps d’échanger avec moi <3

bisous aux copines « Poulettes » présentes sur la photo <3

 

 

Soyez heureux, soyez à l’heure !

Bisous

NataCha

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paroles de ChaCha

Football

28/05/2018

Cela fait très longtemps que j’ai envie d’aborder le sujet, sans trop savoir finalement par où commencer…

Non je ne suis pas née avec un ballon dans les pieds, je ne sais pas y jouer, je n’en ai pas envie et il y a même quelques règles que je ne maîtrise pas comme le hors-jeu par exemple.

Toutefois le football est là, bien là dans ma vie, depuis tout ce temps et aujourd’hui encore…

Petite, mon père nous imposait les matches à la télévision, ado mon frère nous imposait ses matches au stade le week-end, le mercredi ma mère m’imposait ses entraînements pour que je le récupère…

En semaine, le week-end : championnat, coupe, national, européen, mondial… France, Portugal ou Espagne, du foot à toutes les sauces, tout le temps… Monaco, Marseille, le Psg, Porto, Barcelone, le Real Madrid, voire même le championnat anglais, tant qu’il y avait un « grand » joueur ou un « grand » entraîneur portugais il fallait s’y intéresser…

J’ai DéTESTé le foot TOUTE ma vie, je l’ai haï pour la distance qu’il mettait entre mon père et moi, pour le silence qu’il imposait chez nous, pour la place qu’il prenait dans nos vies, pour la passivité qu’il engendrait, pour la mauvaise humeur et le stress qu’il générait, pour le bonheur furtif qu’il provoquait, pour les cris de liesse ou de douleur qu’il occasionnait, les larmes qui coulaient. J’ai détesté l’alcool qui l’accompagnait : les bières qui se suivent qui n’étanchent rien et qui se succèdent machinalement. A la télé ou à la radio, d’ailleurs mon père prenait avec lui un petit poste radio même lorsqu’il était invité pour pouvoir écouter le match de son équipe préférée, ça ne choquait personne et j’avoue qu’aujourd’hui ça me fait sourire.

J’ai maudit ce sport, les supporters, les torses nus, les slogans scandés , les insultes gratuites, les projectiles, les blessures, les simulations, les débordements, les salaires exorbitants, les règles stupides : courir après un ballon et le faire rentrer dans des filets…

Et puis un jour je suis rentrée dans un stade… J’ai senti les vibrations dans les tribunes, j’ai regardé mon père…

Les années ont passé, les matches se sont succédés, les affiches, les équipes, des stars sont nées, heureusement l’une d’entre elles est portugaise, Dieu existe !

On dit parfois que chez les portugais le football est comme une religion, je confirme, ç’en était une chez nous, car on pouvait rater la messe le dimanche, mais on ne ratait pas un match !

J’ai grandi, j’ai eu des petits copains, je prenais soin de ne pas croiser sur ma route des portugais, pour m’éviter la passion dévorante et envahissante de ce sport ennemi, c’était presque un critère : « tu aimes le foot ? tu y joues ? OK ! NEXT ! » Bon j’exagère un peu, mais j’avoue que ça pesait un peu dans la balance… Malheureusement chaque fois je suis tombée sur des férus de ce sport de brutes !

Et puis j’ai rencontré Monsieur Doux… Il m’a récupéré un jour au métro avec un maillot de foot de l’équipe du Portugal et là je lui ai gentiment dit que moi vivante il était OUT OF QUESTION qu’il porte ce genre de truc en ma présence… Ce truc me piquait les yeux, rouge de surcroît, j’en saignais presque ! Je me suis dit que c’était mignon sur des enfants pendant les entraînements, mais que les adultes avaient autre chose à faire que de vivre un rêve par procuration en portant un maillot… (Depuis, je vous rassure, je suis devenue tolérante…)

Et puis Monsieur Doux, ADORE le foot… et puis Monsieur Doux a un cousin qui est joueur de foot professionnel…

Et puis…

Et puis j’ai travaillé pour une radio qui retransmettait les matches que mon père écoutait sur son petit poste radio chez les gens…

Et puis cette radio m’a proposé de travailler pour…

UNE EQUIPE DE FOOT en Ligue 2 !

MoI, NaTaChA, j’allais m’occuper de trouver des sponsors, assister aux matches un vendredi sur 2 à domicile, m’intéresser aux résultats du championnat de France, de la Coupe de France,

boire-manger-respirer-subir du foot au quotidien nuitetjourjusqu’àcequemorts’ensuive… 

M’intéresser aux tribunes, aux supporters, aux joueurs, aux barrières, à la sécurité, aux écrans géants, aux animations en bord de terrain, aux pubs, aux panneaux, aux cocktails, aux invitations, à qui est qui, distribuer des bracelets VIP, des moins VIP…

J’étais punie de toutes ces années à cracher sur ce qui faisait le bonheur de tellement de personnes, à dénigrer un peu aussi ce qui faisait partie de mon éducation (hum hum). J’ai détesté des soirs de matches tout comme j’en ai adoré…

Je ne savais pas que j’allais trembler, crier, soupirer, transpirer (aussi), courir, rire, pleurer, pester et vivre des choses extraordinaires…

A petite échelle et en un temps record, j’ai assisté à des séminaires à la LFP avec les responsables marketing des plus grandes équipes françaises, un autre séminaire au Parc des princes, rencontré des gens à la FFF, j’ai échangé avec des passionnés et j’ai compris l’envers du décor : la stratégie, les enjeux, l’argent, la politique, ce qui ternit un peu « la magie » du spectacle…

J’ai assisté à des matches contrainte et forcée, je n’ai pas vu du foot à très haut niveau et le stade était souvent vide malheureusement, mais j’ai écouté et j’ai regardé…

J’ai vu des gens venir en famille, j’ai vu des gens acheter des maillots (merci d’ailleurs ! lol) et les porter fièrement…

J’ai une très bonne amie fan de la première heure du PSG, nous sommes d’ailleurs allées voir un match en loges au Parc des Princes, c’était une super expérience même si elle ne m’a pas transmis son addiction lol <3

Je me suis un peu réconciliée avec le football…

Et puis j’ai vraiment ouvert les yeux sur mon père… Mon père n’est pas un vulgaire supporter, mon père est un historien, un collectionneur, un conteur (pas un compteur ! quoi que il compte aussi les points !)

Mon papa peut vous faire aimer son équipe ou du moins vous donner l’envie de vous y intéresser… Il commencera par vous raconter l’histoire de la ville, les premières foulées sur le terrain, les premiers entraineurs, les premiers joueurs et ceux qui ont fait l’histoire du club… Mon papa vous dira que tous les grands joueurs portugais ou presque sont passés par son équipe. Mon papa a du respect pour le maillot, pour ses couleurs… Il découpe des articles dans les journaux, il les encadre parfois, il ne rate aucun match et mesure parfois les risques et renonce parfois à aller au stade privilégiant le confort de son canapé mais fidèle devant sa télé. Mon papa me donne parfois mal à la tête mais il est là, il aime ça, il aime le foot, il aime retrouver ses copains, il a son nom gravé sur son siège, son téléphone sonne à quelques heures du match pour s’assurer qu’on l’y verra bien. Mon père s’inquiète quand un de ses copains manque à l’appel… Mon père rentre sagement après chaque rencontre… Mon père a pris un abonnement pour chacun de mes enfants et comme un enfant mon père guette chaque nouveauté à la boutique…

Respect pour RIO AVE FC

Le foot me soule mais le foot est là… pour mon papa et pour Monsieur Doux et soit je le subi soit je l’accepte… Je ne parle même pas de la coupe d’Europe que le Portugal a gagnée, j’en entends encore parlé aujourd’hui et j’avoue aussi avoir été transportée… Voir une nation entière portée par cette victoire… S’approprier une joie indescriptible dans la totalité du pays et en dehors de ses frontières…

Monsieur Doux ne rate pas un match de son cousin et je tends l’oreille pour me tenir au courant des scores ou du classement, la quiétude de notre foyer en dépend ^^.

Hier, nous fêtions avec ma belle famille les 7 ans de mon grand, mais à 18h nous savions que la journée allait prendre un grand tournant… Le cousin prodigue, le fils, le frère, le beau frère, le neveu (ses parents et ses sœurs étaient chez nous) jouait pour la montée de son équipe en Ligue 2…  Je peux vous dire qu’il y avait de tout chez moi : un ascenseur émotionnel, du calme, de l’exaltation, du stress, des gros mots, des grands gestes et BEAUCOUP d’amour…

L’équipe a confirmé sa montée, les respirations se sont régulées après avoir poussé des cris de joie et de soulagement… Qu’on le veuille ou non tout le monde a été porté par ce match… Je ne vais pas mentir, je ne suis pas accro, je me suis assise quelques instants et j’ai partagé ce moment avec eux, mais ce que je retiens c’est cette image de ma belle famille tenue en haleine, aimante et bienveillante et même si c’est devant un match de foot, je me dis que pour beaucoup, heureusement que ce sport existe, s’il déchaine encore les passions, s’il permet de rêver et surtout de s’unir et de se retrouver <3

Bravo le GF 38 !

Et vous ? A quelques semaines du Mondial… Foot ou pas foot ?

Soyez heureux ! Soyez à l’heure !

Bisous

NataCha

 

 

 

Ce que j'aime, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha, Test produit

Je suis ambassadrice du centre commercial Rosny 2 ! #ambassadeurrosny2

30/03/2018

J’ai commencé à le sous-entendre sur Instagram il y a quelques jours en vous montrant une jolie paire de souliers…

Il est grand temps de vous l’annoncer officiellement [roulements de tambours ! ] : je suis ambassadrice du Centre Commercial ROSNY 2 !

  • Oui bon d’accord, mais ça sert à quoi au juste une ambassadrice ? 

La mission que j’ai décidé d’accepter c’est de partager avec vous un MAXIMUM DE BONS PLANS !

L’un des premiers, ce sont les ANIMATIONS GRATUITES organisées en moyenne une fois par trimestre voire plus en fonction des périodes de l’année. Ce sont essentiellement des animations pour les enfants, à découvrir en famille, mais pas seulement et le week-end, car le centre commercial Rosny 2 est ouvert le dimanche.

Cela peut être aussi vous dévoiler en avant-première une ouverture de boutique et les opportunités qui peuvent y être liées 😉

Je pourrai vous faire profiter de moments privilégiés dans le centre, il me tarde d’ailleurs de vous en parler… un peu de patience !

  • Pourquoi j’ai accepté ? 

J’ai d’abord été très flattée et puis c’est apparu comme une évidence : ROSNY 2 se trouve à 10 minutes en voiture de chez moi (raison numéro 1 !!!), ensuite j’y trouve toutes les boutiques dans lesquelles j’ai mes petites habitudes (mon banquier pourra vous le confirmer ! ), 148 pour être exacte ! Non pas que je dépense mes sous dans tout le centre mais disons qu’il y a matière à trouver son bonheur, non ? Vous pouvez trouver la liste juste ICI et vous projeter pour votre prochaine séance shopping… sans oublier plein de restaurants (19) où improviser une petite collation ou un vrai repas 😉

C’est un centre pour tous et pour toute la famille avec : un espace bébé (chauffe biberon, coin allaitement isolé…)on y prête des poussettes, un espace enfant avec la possibilité de les faire garder ou de les promener en voiturettes, un accès pour les personnes à mobilité réduite, tout est mis en œuvre pour que l’expérience shopping se passe dans les meilleures conditions. Vous pourrez également trouver à Rosny 2 un espace détente, le wi fi gratuit et illimité, des bornes interactives et de charmantes hôtesses au point accueil à votre service.

Pour être tout à fait honnête, le parking du centre commercial était ma bête noire… J’y vais depuis quelques années que je vis dans l’est parisien et l’arrivée de la ligne 11 du métro a chamboulé un temps l’accès… C’est encore un peu le cas, toutefois le parking aérien avec plus de 1000 places est venu faire contrebalancer mon <3 et j’ai plaisir à m’y rendre sans réfléchir ! Plus de 4000 places de parking, c’est inspirant ! sans oublier que le RER E vous laisse AUX PIEDS du centre : GARE DE ROSNY BOIS PERRIER.

Mention spéciale pour le cinéma attenant au centre qui permet de profiter des dernières sorties en salle, sans me rendre sur Paris et de joindre l’utile à l’agréable… C’est aussi mon petit moyen de pression à moi, lorsque je suis avec MiniMoi1 : je lui propose une séance shopping contre un ciné 😉 le deal passe beaucoup mieux ! Découvrez les films à l’affiche par LA.

Pour terminer : LA VERRIERE ! Est-ce que je vous ai parlé de cette verrière ? Alors oui, quand on rentre dans un centre commercial, on sait à quelle heure on arrive, mais rarement à quelle heure on en ressort et cette sensation d’enfermement parfois que l’on peut ressentir avec les lumières artificielles notamment est balayée par cette ouverture sur le ciel tout au long du parcours ! J’en suis fan !

Pour ces raisons principalement, j’ai envie de prendre très au sérieux cette nouvelle mission et vous donner envie de venir !

  • Et si je vous donnais l’adresse et les jours d’ouverture ?

Centre Commercial Rosny 2 : Avenue du Général de Gaulle, 93110 Rosny-sous-Bois

Ouvert le lundi et le dimanche de 10h à 20h  et du mardi au samedi de 10h à 21h 

Il me tarde de vous parler des animations prévues au mois d’avril ! Un petit avant-goût avec un Escape Game ENGIE sur la place centrale du 2 au 8 avril ;-)…

En attendant, allez vite télécharger gratuitement l’application Rosny 2 pour faire connaissance avec le centre commercial et préparer votre venue pour bénéficier d’offres spéciales dans la quasi totalité des boutiques !

Vous avez un centre commercial préféré ? Est ce que je vous ai donné envie de venir à Rosny 2 ? J’espère bien en tout cas et qui sait, peut-être que l’on s’y croisera ?!  Pour info, Rosny 2 sera ouvert Lundi de Pâques le 2 avril 😉

Découvrez le site complet de ROSNY 2 ICI

 

* Merci à Rosny 2 et ses équipes pour sa confiance et pour cette belle aventure qui s’annonce ! #ambassadeurrosny2 #collaboration 

Soyez heureux, soyez à l’heure

Bisous

NataCha

 

 

Ce que j'aime, Ma vie de maman, Paroles de ChaCha, Test produit

On a testé la poussette CityLink III de Red Castle #bandedeparents

24/03/2018

Depuis maintenant quelques semaines, nous avons à la maison un nouveau moyen de locomotion pour MiniMoi2 : la poussette CityLink III de la marque Red Castle, sur le marché depuis fin 2017.

J’ai une fois encore le plaisir et l’honneur de tester un produit dans le cadre de ma participation au programme #bandedeparents Béaba et Red Castle cette année encore.

Voici donc la vidéo officielle de la CITYLINK III avec un très beau jeune homme pour nous la montrer ^^ ce qui ne gâche rien.

Nous l’avons reçue en noir et non en blanc comme sur la vidéo et j’avoue que c’est la version que je préfère, je trouve qu’elle a beaucoup d’allure !

C’est une poussette citadine et compacte, ce qui veut un peut tout et rien dire, mais qui en tout cas est adaptée à notre style de vie : les pavés, les trottoirs étroits, les montées et les descentes, les parkings, la course pour arriver à l’heure à l’école ou à la crèche et AUSSI un poids plume et une taille mini une fois pliée pour rentrer sans effort dans le coffre de ma voiture.

La première chose frappante, c’est évidemment son design : sa poignée et sa barre de protection frontale en simili cuir marron, viennent parfaire une jolie finition, ses roues blanches (j’adore !) et son assise moelleuse sans compter le détail du logo RED CASTLE en rappel sur le protège épaule. Ce sont des éléments qui la différencie de la plupart des poussettes citadines compactes, pour lesquelles le design est là sans pour autant mettre le paquet sur les finitions et le confort.

MiniMoi2 adore la position assise, évidemment avec les mains posées fièrement sur la barre de sécurité, mais il ne se fait pas prier pour piquer un petit roupillon quand la balade se prolonge…

Voici quelques caractéristiques technique complémentaires , que vous pouvez retrouver ici :

  • Poignée deux positions, réglable en hauteur
  • Roues avant 360° ou fixe
  • Se plie et se déplie en quelques secondes en un tour de main
  • Harnais 5 points + barre de protection frontale
  • Protège pluie, vent et froid

Elle coûte entre 190 et 220 € selon les revendeurs, ce qui en fait une poussette assez compétitive sur le marché puisque l’on peut l’utiliser dès les premiers mois de bébé, attention* toutefois car elle est face route, du coup pour les premiers jours de bébé ce n’est pas forcément l’idéal. De plus, si vous optez pour une utilisation dès la naissance, prévoyez la chancelière Red Castle (environ 60€), dont vous pourrez trouver le descriptif ICI.

Nous ce qu’on aime c’est de pouvoir ajuster la poignée sur 2 positions : papa est grand et MiniMoi1 est un parfait grand-frère qui pousse fièrement ce bolide ^^.

On aime aussi les roues avant qui tournent à 360° ce qui la rend vraiment très très maniable, juste un petit bémol pour la montée des trottoirs, les roues avant sont peut-être un chouille petite.

On adore le panier à provision sous la poussette, tout y passe : ballon, goûter, courses prévues et imprévues ^^.

On aime aussi que l’habillage pluie (et vent !) soit inclus, c’est tellement pénible les habillages pluie universels ou de penser à en acheter un, surtout qu’en moyenne il faut compter 25 € en plus…

Je reviens dessus, mais vous n’imaginez  pas à quel point l’assise est rembourrée et donc moelleuse, c’est vraiment à mon sens l’un des gros + de cette poussette.

Voilà pour mes (nos) impressions sur cette jolie poussette CITYLINK III !

Vous la connaissez ? Vous l’avez essayée ou déjà vue ?

Encore merci à Red Castle pour sa confiance et ce test qui ravi toute la famille !

Soyez heureux, Soyez à l’heure

Bisous

NataCha

 

 

 

Paroles de ChaCha

Adios Abuela…

13/03/2018

Lorsque j’étais enfant, chaque été, j’avais la chance de passer un peu si peu de temps chez mes grands-parents maternels en Espagne.

Ces quelques jours, même si trop courts, me remplissaient le cœur d’un je-ne-sais quoi, une sensation de plénitude, l’air de la montagne peut-être…

J’étais une fille de la ville et je le suis toujours, être là-bas était un peu exotique : de magnifiques paysages, une chaleur étouffante, une vie en suspens où tout est ralenti, voire décalé… du lever au coucher, en passant par la sieste obligatoire et les interminables déjeuners.

Nos jours, nos heures étaient comptés, je le savais mais avec le temps, les années ce sentiment s’est exacerbé.

Les vacances, nous le savons tous, passent bien trop vite, que dire d’une semaine voire 4 ou 5 jours, à peine le temps de s’acclimater, de s’habituer les uns aux autres et de nouer de vraies amitiés.

Avec le temps, paradoxe paradoxal, j’avais envie de passer plus de temps avec mes grands-parents et à la fois, je n’avais qu’une envie c’était de rester dehors et profiter de la nature et des autres jeunes qui, comme moi passaient leurs vacances (bien plus longues que les miennes) chez leurs grands-parents.

Je savais avec le temps, que le temps justement était compté… On voit rarement vieillir ceux que l’on aime… J’entends par là, objectivement… bien sûr on voit les rides se dessiner, bien sûr on les entend s’essouffler, assurément on les voit le dos courbé, mais jamais au grand jamais on ne veut s’imaginer…

La vie sans eux, c’est impossible, ce serait comme manquer d’air, manquer de repaires.

Inconsciemment on repousse les « au revoir », avec cette boule au ventre et cette peur de ne plus les revoir, parce qu’un an c’est long, parce qu’ils ne viendront plus en France et parce que venir pendant l’année personne n’y songe vraiment, mais pourquoi ?…

Un jour on s’aperçoit que c’était finalement la dernière fois, on va chercher tout au fond de sa mémoire, une voix, une odeur, un numéro 16, on se frotte les yeux, on se prend la tête, on ne veut pas oublier, on ne doit pas les oublier…

On repense à cet au revoir banal, à cette répétition d’adieux années après années, évidemment les larmes ont coulé, évidemment c’est un mélange de tristesse, de nostalgie et de peur, peur de ne plus les retrouver, de ne plus les serrer… fort… encore…

Avec le temps et même si le souvenir est encore présent, ce sentiment s’était atténué et puis lentement il s’est réinstallé…

Mes parents désormais vivent à l’étranger, au Portugal et même si les temps ont changé, même si la séparation est moins longue, cette petite boule s’est installée, au creux de moi, dans ma tête, dans mon ventre et dans mon cœur…

Il se passe parfois 3, 6 mois, peut-être plus sans que je ne les vois et malgré tout, je n’arrive pas à faire taire cette petite voix « et si c’était la dernière fois ? » Je sais que ma maman va lire ces lignes et je ne veux pas lui faire de mal, évidemment je ne lui ai jamais dit, mais c’est plus fort que moi.

Mes parents ne sont pas vieux, mais ils ne sont pas jeunes non plus, mais ce n’est pas pour eux que j’ai peur, pourquoi devraient-ils partir avant moi d’abord ? J’ai souvent peur qu’il m’arrive quelque chose, on le sait tous, ça n’arrive pas qu’aux autres…

Je sais bien que s’ils vivaient dans le même pays, ce serait sans doute différent, la distance est responsable de mon impuissance face au temps qui passe, et j’ai mal au cœur à chaque « au revoir ».

Bien sûr, à vol d’oiseau ou d’avion plus exactement ils sont à 1h50 de moi et moi d’eux, mais nous savons tous qu’il est difficile de pouvoir partir autant de fois que l’on voudrait…

Je parle souvent à mes parents au téléphone comme si de rien était et parfois j’ai du mal à encaisser cette distance.

Je n’ai parfois même pas envie de parler à ma maman parce que j’ai l’impression d’entendre la distance dans la conversation, qu’elle est là tapie dans l’ombre et qu’elle pèse sur le combiné, qu’elle intensifie le poids de chacun de nos mots et qu’elle creuse, encore un petit peu…

J’ai beaucoup de regrets avec mes grands-parents, mais je me félicite tout de même de ma visite surprise en plein hiver, seule alors que personne ne m’attendait…

Tout comme je me félicite de pouvoir surprendre encore mes parents parfois, tout comme nous l’avons fait avec mes fils il y a quelques jours…

La distance, la nostalgie, l’amour de ceux qui sont loin… C’est parfois tellement lourd, je me sens coupable d’un acte que je n’ai pas commis, ils sont partis c’est leur vie.

Abuela, grand-mère en espagnol, quand j’appelais ma mémé, Abuelo quand j’appelais mon pépé.  Abuelita, grand-mère chérie, c’est comme ça que mes enfants appellent ma maman et Vôvô mon papa…

 

Adios Abuela, adios Abuelo…

Hasta luego Abuelita, até breve Vôvô  <3

 

 

 

 

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

La routine

12/03/2018

Elle le regarde, il est là dans la même pièce et pourtant si loin.

Elle voudrait lui dire quelque chose, lui demander d’arrêter, elle voudrait arrêter le temps.

Quand est-ce que ça a commencé, quand la magie a t-elle pris fin ?

Depuis combien de temps ne lui a t-il pas pris la main ?

Elle le frôle, le dévisage mais aucun son ne sort de sa bouche.

Elle le cherche du regard, le provoque avec une ou deux phrases choc, mais rien.

Elle, qu’a t-elle fait ou qu’aurait-elle dû faire ? Lui parler davantage ou se taire ?

Qui a commencé avant que cela ne finisse ? Où en est leur amour, avant que la routine ne s’immisce ?

Sont-ils encore heureux, peut-on dire qu’ils sont amoureux ?

Le réveil sonne chaque matin, les mêmes gestes, les mêmes scènes se répètent dans les mêmes pièces de cette maison froide.

Il n’y a pourtant aucun geste méchant, aucun reproche assurément, rien de plus qu’un silence assourdissant.

Des draps froissés, une lumière qui s’allume, le micro-ondes qui « bip », une cuillère qui tinte, un emballage que l’on froisse, une poubelle qui se ferme. Ces bruits s’accumulent et deviennent un cauchemar, alors même qu’elle traine des pieds pour le rejoindre et devant lui s’asseoir.

Ils échangent à peine un regard, il se lève emporte avec lui sa tasse et tous ses espoirs, la laissant là pleine de désespoir…

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

Avant de s’endormir…

11/03/2018

Elle voudrait éteindre la lumière, remonter la couette et simplement fermer les yeux, mais il n’en est rien.

Elle se relève, son téléphone à la main pour l’éclairer et s’approche de son tout-petit pour l’entendre respirer… Cela dure 3 secondes, guère plus, mais cela suffit à la rassurer…

A pas de loup, elle quitte la première chambre et fait irruption dans la seconde, avec la même minutie comme s’il y avait une bombe. Les ronflements la rassurent, mais c’est la couette et cette jambe qui ne veut jamais rester en place qui ont toute son attention et c’est avec précision, dans la pénombre qu’elle réajuste la position de son petit champion.

Elle se retrouve sur le palier des chambres un peu désorientée, comme si elle avait oublié ce qu’elle venait chercher.

Etourdie et résignée, elle retourne se coucher. Elle jette un dernier coup d’œil sur son téléphone, vérifie les notifications, les pouces levés ou les cœurs affichés : Instagram, Facebook, elle ne peut s’en empêcher.

Il est tant, grand temps de débrancher, pour autant elle ne va pas y arriver. Elle prendrait bien un livre, mais elle serait bien capable de le terminer.

D’une main elle éteint l’écran, de l’autre amorce un pénible retournement et se persuade que c’est l’heure, oui l’heure de dormir profondément.

Ajuster l’oreiller, se caler, rassembler les paumes et ne pas oublier de prier, de remercier Dieu pour cette journée écoulée et fermer les yeux plus fort.

Fermer les yeux et dormir, le rêve, le luxe qu’elle ne s’offre pas. Sa tête et son esprit son très forts à ce jeu là et la torture commencera là.

Et si ?

Et pourquoi ?

Et combien ?

Et pourquoi pas ?

Et quand ?

Et qui ?

Et j’aurai dû…

Et j’aurai pu…

Et si j’avais…

Un tourbillon d’interrogations, de doute, d’images qui repassent dans sa tête et son cœur qui s’emballe.

Elle est persuadée qu’elle n’est pas normale…

Elle est fatiguée, si fatiguée pourtant, physiquement et moralement elle devrait dormir à présent.

Perfectionniste, hyper sensible, le cerveau toujours bouillant, peu de gens le savent, mais c’est éprouvant et paradoxalement épuisant, même si le marchand de sable ne fait pas semblant.

Alors elle repousse cet instant… Elle voudrait juste pouvoir s’étendre et étirer tous ses membres. Attendre patiemment sans réfléchir que son cerveau sache bien se tenir.

Faire, défaire, envisager, écrire, imaginer, avoir peur d’oublier et vouloir oublier, vouloir se laisser aller.

Partir…  Dormir, sans compter, dormir sans compter, ne pas se rendre compte qu’elle s’est endormie sans difficulté.

Avant de s’endormir, chaque soir, elle se plaît à divaguer…

Tantôt heureuse, tantôt fâchée, bien souvent très inspirée, elle repousse encore et encore l’heure du coucher.

 

Paroles de ChaCha, Récits imaginaires

Elle ne dansera pas ce soir…

10/03/2018

Ce soir elle aurait dû porter une jolie robe, enfiler des chaussures à talons et forcer un peu sur le maquillage.

Elle aurait aussi vérifié la tenue de son amoureux, déposé les garçons chez papi et mamie et couru main dans la main avec son chéri, pleine d’entrain, mais ce soir il n’en sera rien.

Ce soir elle aurait dû arriver au bras de celui qu’elle aime et distribuer des bisous, des sourires, elle aurait dû retrouver des gens qu’elle n’a pas vu depuis une éternité.

Cette soirée, elle l’avait imaginé joyeuse et pleine de fierté… La famille, les amis, tous heureux de se retrouver.

Ce soir, c’est jusqu’à l’aube qu’elle aurait dû danser, elle aurait fait claquer ses talons avec la fougue qui la caractérise et s’abandonner.

Ce soir, elle aurait échangé quelques mots avec celui qu’elle a tant aimé et qui a tant compté, car c’est pour lui qu’elle se serait déplacée.

Et puis non, pas ce soir…

La nuit tombera, la musique résonnera peut-être même jusqu’à ses oreilles, mais elle ne sera pas là, pas là-bas.

Elle a dû mal à y croire, mal au cœur et le vague à l’âme, elle se résout à sa propre absence, dans l’indifférence et en silence.

Elle s’assied et écrit le combien son cœur est meurtri.

Elle se remémore péniblement les années complices : l’enfance, l’adolescence, les premiers pas dans la vie adulte et l’éloignement.

L’éloignement, cette distance encore plus cruelle ce soir, qui bientôt sera insignifiante puisque l’important est ailleurs, mais l’instant présent apporte son lot de douleur.

Elle ne dansera pas ce soir, ni avec lui, ni avec personne, la faute à une ou plusieurs personnes… Elle aurait voulu faire une autre rime en « onne »…

Elle ne dansera pas ce soir, parce que le manque d’amour des gens la ronge, parce que l’égoïsme de beaucoup l’étouffe et parce que l’amour propre, l’emporte !

Elle ne dansera pas ce soir, elle dispensera certains de son rire puissant, de ses grands gestes et de ses arguments. Certains remarqueront son absence, d’autres feront semblant, presque reconnaissants de ce vide, de ce silence.

Elle ne dansera pas ce soir, elle brillera une fois encore par son absence, à la différence près que ce soir on l’attendait.

Elle ne dansera pas ce soir, fière et élégante elle a décliné l’invitation, puisque dans sa famille on préfère, on évalue, on calcule… 

Elle ne dansera pas ce soir…